20 novembre 2018
La cohérence des choses.
Au bout du chemin creux qui longe mon courtil, il est un ru de peu. Il sourd discrètement quelques perches plus haut d’une énorme rocaille, dévale la colline, s’égare dans les genêts comme s’il voulait s’y perdre, serpente paresseux entre ajoncs et bruyères...