14 juillet 2011
Marthe Dumas du Mas du Goth
J’avance à pas de loup. Posant un pied puis l’autre avec la délicatesse de l’herbe qui se redresse. Mais un coulis de brise, léger comme un soupir, caresse l’épillet d’une fétuque égarée parmi les séneçons en fleur. Alertée, une escadrille d’abeilles...